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Affichage des articles associés au libellé Michel Bussi

Nouvelle Babel

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   Michel Bussi Surprenant Comme vous le savez maintenant, j'apprécie particulièrement de lire des romans de Michel Bussi (enfin surtout ses premiers titres) et je suis aussi particulièrement critique avec ce romancier. Il faut dire que quand on invente des problèmes qui semblent insolubles, j'aime que leurs résolutions soient cohérentes et je regrette souvent que cela ne soit pas le cas. Nouvelle Babel est assez surprenant puisque, cette fois, Michel Bussi s'essaie au roman d'anticipation.  Oui, vous m'avez bien lu! Mais, ne vous inquiétez pas le roman reste un roman policier dans sa construction.    Nous sommes, donc, en 2097 (ce n'est pas dans si longtemps, en réalité) et le monde a bien changé.  Deux innovations sont principalement à noter : les gens peuvent se téléporter grâce à un gadget qu'ils gardent constamment à leur bras et l'idée de nation a disparu.  Tout le monde vit dans le même monde (justement) et les frontières ne sont plus. Pareillemen

Trois vies par semaine

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  Michel Bussi Michel Bussi en fait toujours trop ! Eh oui, me voici, repartie avec la lecture d'un roman de Michel Bussi.  Si vous avez lu mes chroniques précédentes sur cet écrivain français et ses romans, vous savez que je loue ses qualités de conteurs.  Oh oui, avec Michel Bussi, il est toujours difficile de lâcher un roman. On veut toujours connaître le fin mot de l'histoire tant celle-ci nous semble insoluble.  Mais voilà, Michel Bussi a aussi des défauts dont celui d'en faire trop. Et, comme vous le voyez, dans ce livre, Trois vies par semaine, je trouve que c'est franchement le cas.  Voici le début du livre :  Un homme est retrouvé mort. Son corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse.  La capitaine de police, Katel Martelle, se pose des questions : est-ce un meurtre ou un suicide ? Cela pourrait même être un simple accident.  Cela pourrait être une petite enquête de routine... Mais, cela n'es sera pas une, la capitaine le comprend presque immédiatement. P

Mourir sur Seine : le polar de l'armada

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  Michel Bussi   Un peu déçue   J'ai choisi d'emprunter ce roman en raison de son auteur : Michel Bussi. Cela va, peut-être, vous étonner puisque j'ai enchaîner les déconvenues avec cet écrivain français ces dernières semaines.  Pourtant, sachant que j'avais un long voyage à faire en TGV, j'ai eu envie d'emprunter ce roman policier.   Et, je dois bien avouer qu'encore une fois, je suis ressortie de ma lecture de Mourir sur Seine assez (très) déçue.  Dans le prologue, une fille et ses parents font une promenade familiale. Le père et la fille sont des plongeurs chevronnés et c'est, donc, le but de cette petite escapade : plonger.  La mère, elle, préfère se promener dans les environs en les attendant.  C'est là que ce produit un drame.  L'imprévu.  L'horreur.  La mère est victime d'un accident de chasse. Le père et la fille remontent de leur plongée et la retrouvent morte.    Des années plus tard, nous nous retrouvons à Rouen au sixième jo

J'ai dû rêver trop fort

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  Michel Bussi  Cucul Comme vous le savez, j'appréciais beaucoup Michel Bussi et con côté page-turner. Je dis "j'appréciais" car je dois bien vous l'avouer et me l'avouer : j'apprécie vraiment de moins en moins les livres de cet écrivain.  Je vous ai parlé récemment de Nymphéas noirs dont la construction est vraiment problématique puisque l'auteur choisi de tromper sciemment son lecteur et se trompe lui-même dans certains passages qui sont de vrais erreurs d'écrivains.  Je vous avais, également, parlé de Code Lupin , qui ne fut pas non une grande découverte, et, je vais, donc, parler de J'ai dû rêver trop fort qui est un roman vraiment très décevant.  Moi, qui voulais un page-turner, j'ai été plus que déçue puisque j'avais même du mal à reprendre ma lecture puisque je n'avais pas l'envie de replonger dans cette histoire cucul la praline.  L'histoire est alternée entre 1999 et 2019 et tout commence, donc, avec Nathy en 2019.

Code 612 : qui a tué le Petit Prince ?

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  Michel Bussi  Mitigée Comme vous le savez, je lis beaucoup de romans policiers ou thrillers et je lis également beaucoup de livres signés Michel Bussi. Vous le savez, peut-être, moins mais je suis aussi une grande admiratrice du livre de Saint-Exupéry : Le petit prince.  Il y a quelques années, j'ai même craqué pour la version pop-up de ce roman. Version que je vous conseille si vous ne la possédez pas encore.  Alors, quand j'ai vu que Michel Bussi allait parler du Petit Prince, je n'ai, bien sûr, pas pu m'empêcher de me procurer rapidement le livre.  Code 612, qui a tué le petit prince est, donc, un roman qui nous propose de revenir sur la fin du Petit Prince à la fois celle du conte mais aussi celle du personnage.  Comme vous le savez, le Petit Prince décide de rejoindre sa planète à la fin du livre, et, pour cela il doit laisser son enveloppe corporelle.  Le serpent le mord et il ne reste plus rien de notre petit garçon. Les personnages écrits par Michel Bussi n

Nymphéas noirs

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  Michel Bussi Un peu déçue Comme vous le savez, j'aime beaucoup les romans de Michel Bussi. J'en veux, pour preuve, le nombres de chroniques concernant cet auteur sur mon blog. Je trouve qu'il arrive toujours à nous retourner le cerveau en nous posant des problèmes qui semblent insolubles mais qui, au final, trouve une résolution satisfaisante. Nymphéas noirs est un peu de cela. Il commence avec l'histoire de trois femmes, et, dès le préambule, nous le savons deux vont mourir dans les treize prochains jours.  Ces trois femmes sont : une enfant de onze ans qui ne vit que pour la peinture, une très belle institutrice et une vieille femme qu'on pourrait qualifier de folle, qui semble tout savoir.  Toutes habitent Giverny, le village cher des peintres et celui de Claude Monet.  Toutes aimeraient partir de ce petit village.  Et, un meurtre va troubler la quiétude de ce village. Ce meurtre, c'est celui de Jérôme Morval. Un ophtalmologue amateur d'art, coureur de

Code Lupin

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  Michel Bussi Déçue  Vous le savez, je pense, j'aime beaucoup lire des romans policiers / thrillers et je lis régulièrement des romans de Michel Bussi. En règle générale, je finis un livre de Michel Bussi en deux jours maximum.  Il est vrai que cet auteur français a le chic pour commencer ses histoires avec des scénarios improbables et pour nous donner l'envie de tourner encore et encore les pages. Je regrette seulement que la fin des roman soit souvent pas du tout à la hauteur du début.  Eh oui, souvent Michel Bussi utilise de grosses ficelles et on finit par se dire : Tout ça pour cela ? Et, je le regrette régulièrement dans mes chroniques. Code Lupin est, je crois, le premier roman publié par Michel Bussi.  Et, c'est peut-être pour cela que, dès le départ, on sent que l'intrigue n'est pas très maitrisée.  Ce n'est, d'ailleurs, pas avec ce roman policier que Michel Bussi se fera connaître. Le succès de Code Lupin étant plutôt tardif.  Nous commençons avec

Sang Famille

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  Michel Bussi  Prévisible Cela faisait quelques temps que je n'avais pas lu un roman de Michel Bussi. Et, j'étais contente de retrouver Michel Bussi avec ce livre : Sang famille. En lisant le résumé, j'avais très envie de le lire et j'avais envie de me faire retourner le cerveau par Michel Bussi.  Car, vous le savez, sans doute, Michel Bussi a le don de donner des débuts d'histoire ahurissants et il est souvent très difficile de savoir où l'auteur veut nous emmener.  Cette fois, un adolescent de seize ans Colin Rémy, est le héros de l'histoire. Ce dernier passe son été à apprendre la voile sur une petite île anglo-normande : Mornesey. On le comprend, au début de l'histoire, Colin n'est pas passionné par la voile.  Alors, pourquoi avoir choisi de passer un stage d'été ici ? Colin est, tout simplement, retourné sur l'île qui l'a vu naître. Cette île est aussi celle où ses parents sont morts. Eh oui, depuis ses six ans, Colin est orphelin.

Ne lâche pas ma main

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  Michel Bussi  Mitigée ! Vous le savez, maintenant, Michel Bussi est un auteur que j'aime beaucoup. Il a le don de me tourner encore et encore les pages de ces romans. J'aime beaucoup ses intrigues qui sont souvent très alambiquées et qui nous surprennent toujours par leur complexité de leur construction. Le revers de la médaille est que je suis souvent un peu déçue par le final. Et, c'est à peu près ce qu'il s'est passé pour ce roman : Ne lâche pas ma main.    Ne lâche pas ma main se déroule sue l'Ile de La Réunion. Liane et Martial sont un couple de touristes qui sont venus en vacances avec leur petite fille.  Martial signale la disparition de son épouse (leur chambre d'hôtel contient des traces de sang) et la police ne voit qu'un coupable possible : Martial, justement. Eh oui, il a même emprunté un chariot à une femme de ménage le jour de la disparition de son épouse. Plusieurs employés de l'hôtel l'ont vu.  Pas très doué ce meurtrier présum

On la trouvait plutôt jolie

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Michel Bussi Il manque un petit quelque chose ! Eh oui, à peine fini Au soleil redouté que je repars dans un pavé de Michel Bussi.  Ah, ce Michel Bussi ! Vous le savez aussi bien que moi et ce n'est pas Adely qui dira la contraire : quand on commence un de ses livres, on a absolument envie de connaitre la fin ! Pourtant, ce roman ne commence pas de la même manière que les autres. Dès les premières pages, nous connaissons l'identité de l'assassin. L'assassin c'est la fille de Leyli . Elle se prénomme Bambi et cet assassin : il faut bien avouer qu'on l'apprécie. On a beau savoir qu'elle assassine des hommes de sang froid... on l'apprécie... un peu trop. On lui trouve des excuses. Bambi a l'air si sympathique. Et puis, avec un prénom pareil, franchement ! Qui pourrait bien s'imaginer que derrière ce prénom de Bambi se cache une meurtrière. Non, vraiment, Bambi doit avoir une bonne excuse pour tuer des hommes. Et cette excuse, peut-on la trouv

Au soleil redouté

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Michel Bussi À la dernière page...on a envie de le recommencer dès le début ! Eh oui ! La dernière licorne l'ayant laissé sur ma faim, j'avais très envie de lire, de nouveau, un roman de Michel Bussi . Je me suis, donc, lancée dans le nouveau Bussi comme le dit si bien le bandeau rouge sur la couverture. Dès le début de l'histoire, nous sommes dépaysés puisque nous nous retrouvons sur les Iles marquises chères à Paul Gauguin et à Jacques Brel. Cinq auteures en herbe ont été invité par un écrivain dans un hôtel de luxe (tous frais payés). Ces dernières ont participé un un concours et ont dû donné lettre de motivation et écrits pour montrer qu'elles ont vraiment un don. L'écrivain dispense donc quelques exercices afin que nos 5 lectrices améliorent leur écriture. Parmi ces exercices il faut continuer l'histoire qui commence par : Avant de mourir, je voudrais ... Et nos 5 lectrices ont bien des choses à faire avant de mourir. Seuleme

Tout ce qui est sur terre doit périr : la dernière licorne

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Michel Bussi Moins prenant que les autres romans de Michel Bussi ! J'ai été un peu surprise en découvrant ce roman aux éditions Pocket car je n'en n'avais pas du tout entendu parler.  Et pourtant, j'aime beaucoup Michel Bussi et j'ai apprécié la majorité des romans que j'ai lu de cet auteur. Le fait que je n'ai pas entendu parler de ce livre s'explique pourtant facilement : ce roman a été publié en 2017 sous le titre : La dernière licorne et sous le pseudonyme de Toby Rolland. Dans la préface de ce livre, Michel Bussi explique qu'il a choisi de publier sous un pseudonyme car le livre est loin de ce qu'il écrit habituellement. Il voulait, ainsi, connaitre l'avis du lectorat sans que ce dernier ait un préjugé sur son auteur. Je dois dire que je comprends la démarche de Michel Bussi car ici nous sommes plutôt dans un thriller ésotérique (proche de Dan Brown ) plutôt que les habituelles énigmes qui nous font triturer

Le temps est assassin

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Michel Bussi 4e de couverture : Été 1989 . La Corse, presqu'île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d'un ravin de vingt mètres, une voiture roule trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde , quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous yeux.  Été 2016 . Clotilde revient pour la première fois sur les lieux du drame, accompagnée de son mari et de sa fille adolescente. Elle veut profiter de ces vacances pour exorciser le passé. C'est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l'attend une lettre... de sa mère. Vivante ? Mon avis : Passionnant mais... Comme à chaque fois que je lis un roman policier de Michel Bussi, je n'ai pas réussi à le lâcher ! L'intrigue, il faut le dire, est passionnante . Clotilde revient sur les traces du drame qui a coûté la vie à ses parents et son frère aîné. Un drame qui a laissé des traces dan

Gravé dans le sable

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Michel Bussi 4e de couverture : Quel est le prix d'une vie ? Quand on s'appelle Lucky , qu'on a la chance du diable, alors peut-être la mort n'est-elle qu'un défi. Un jeu. Ils étaient cent-quatre-vint-huit soldats sur la péniche en ce jour de juin 1944 . Et Lucky a misé sa vie contre une hypothétique fortune. Alice , sa fiancée, sublime et résolue, n'a plus rien à perdre lorsque, vingt ans plus tard, elle apprend l'incroyable pacte conclu par Lucky quelques heures avant le Débarquement. De la Normandie aux Etats-Unis, elle se lance à la quête de la vérité et des témoins... au risque de réveiller les démons du passé. Mon avis : Ce livre de Michel Bussi commence par une préface de lui-même nous racontant la genèse  de ce roman. Il nous apprend, donc, que même si ce roman a été publié pour la première fois en 2014, c'est le premier roman qu'il a écrit à l'âge de 30 ans. Il nous explique, donc, que lo

N'oublier jamais

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Michel Bussi 4e de couverture : Il court vite, Jamal , très vite. A cause de sa prothèse à la jambe et autres coups du sort, il a un destin à rattraper. A Yport , parti s'entraîner sur la plus haute falaise d'Europe. Il a d'abord remarqué l'écharpe, rouge, accrochée à une clôture, puis la femme brune, incroyablement belle, la robe déchirée, le dos face au vide, les yeux rivés aux siens. Ils sont seuls au monde : Jamal lui tend l'écharpe comme on tend une bouée. Quelques secondes plus tard, sur les galets glacés de la plage déserte, gît sous les yeux effarés de Jamal le corps inerte de l'inconnue. A son cou, l'écharpe rouge. C'est la version de Jamal. Le croyez-vous ? Mon avis : Dès le début de l'histoire, Jamal, le narrateur nous parle à nous lecteurs et nous demande de le croire, de croire à son histoire, de croire à son innocence, et surtout de croire que tout sera expliqué et que l'histoire finira bien. Ou

Maman a tort

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Michel Bussi 4e de couverture : Rien n'est plus éphémère que la mémoire d'un enfant... Quand Malone , du haut de ses trois ans et demi, affirme que sa maman n'est pas sa vraie maman, même si cela semble impossible, Vasile , Psychologue scolaire, le croit. Il est le seul. Il doit agir vite. Découvrir la vérité cachée. Trouvée de l'aide. Celle de la commandante Marianne Augresse par exemple. Car, déjà, les souvenirs de Malone s'effacent. Ils ne tiennent plus qu'à un fil. Le compte à rebours a commencé. Qui est vraiment Malone ? Mon avis : Déjà, parlons de la construction de cet ouvrage :  Comme énormément de romans (le trône de fer, par exemple), chaque chapitre nous offre le point de vue d'un personnage différent : Marlone, Vasile, Marianne Augresse,... Et le roman débute, aussi, par un court chapitre, qui est, en réalité, la fin de l'histoire. C'est très personnel, bien sûr, mais j'ai beaucoup de ma