Jane Austen, Daphné Du Maurier et les autres... Parlons littérature anglaise!

  Toshiya Higashimoto  Une excellente fin ! Eh oui, mon histoire avec Le bateau de Thésée se termine aujourd'hui. J'ai, enfin, fini ce manga et je peux vous dire que je l'ai adoré d'un bout à l'autre.  Comme à chaque nouvelle chronique, je vous avertis que je vais SPOILER entièrement l'histoire et les tomes précédents, donc, ne continuez la lecture qu'à vos risques et périls. Nous sommes, donc, le Jour J.  Celui où un empoisonnement doit avoir lieu. Shin et son père sont, donc, sur les charbons ardents. Quitte à se faire passer pour des fous ou des méchants, les deux hommes refusent que les élèves mangent ou boivent quoi que ce soit.  Leur comportement est étrange pour tout le monde. Mais, ils savent que, sans cela, le poids à porter sera bien trop lourd pour eux tous.  Et enfin, nous connaissons le pourquoi du comment. Pourquoi un enfant veut-il tuer les autres ? On comprend (un peu) ce qui se passe dans sa tête.  J'avoue avoir trouvé cette raison un pe

   Neal Shusterman Très bien   Dans un monde où tout le monde vit pour l'éternité, les faucheurs sévissent. Oui, pour éviter la multiplication de la population (puisque personne ne meurt), il a été décidé de la création de l'ordre des faucheurs.  Ces derniers sont craints et souvent détestés par tous. Citra fait la rencontre fortuite de l'un d'entre eux. Et, elle fait clairement parti des gens qui détestent les faucheurs.  Le faucheur était simplement venu faucher sa voisine.  Et, Citra lui a bien fait sentir sa haine.  Rowan rencontrera le même faucheur le jour de la mort d'un camarade de classe. Comme Citra, Rowan décidera de tenir tête au faucheur, et, il soutiendra son camarade jusqu'à son "fauchage".  C'est certainement à cause de leur caractère et parce que les deux personnages ont horreur des meutres qu'ils sont choisis pour devenir apprentis-faucheurs.  Ils ont le choix d'accepter ou non ce statut.  Mais, si ils acceptent, leur fami

  Julia Quinn  Gentillet Comme vous le savez, maintenant, j'ai commencé la saga, mondialement connue, La Chronique de Bridgerton.  Chaque tome peut se lire séparément même si on se fait un peu spoiler sur les autres livres en ne les lisant pas dans l'ordre.  Ceci étant dit, le suspense n'est pas vraiment à l'ordre du jour de cette série. Ainsi, dès les trente premières pages du tome deux, nous savons pertinemment comment le livre va finir.  Dans ce deuxième tome, Anthony, l'aîné des Bridgerton est, donc, à l'honneur. Il est décrit par, à peu près tout le monde, comme étant un briseur de cœur.  Anthony collectionne (plus ou moins discrètement) les petites amies, et, il ne veut pas se marier.  Du moins, c'est ce que tout le monde se dit.  Seulement, le voici disant haut et fort le contraire : il veut épouser une femme, et, il veut l'épouser cette année.  Non pas qu'il ait trouvé la femme idéale. Non, surtout pas. Il veut simplement enfin bâtir sa propr

  Jonas Karlsson Sympathique En Suède, un modeste employé reçoit une facture astronomique : 5 700 000 couronnes (je n'ai pas fait la conversion en euros mais croyez moi, cela fait beaucoup) à régler. Pour impôts. Au début, notre homme n'est pas inquiet.  C'est une escroquerie. Il en est sûr.  Vous conviendrez, qu'à sa place, nous penserions la même chose. Après tout, nous recevons environ 57 spams par jours sur notre adresse e-mail, et à peu près 14 coups de fil par semaine pour le CPF.  L'homme fait, donc, comme si la lettre n'existait pas.  A sa place, j'aurais fait la même chose.  Mais, notre homme va avoir des relances. Et, il va se rendre compte, petit à petit, que tout ceci n'est ni une farce, ni une escroquerie.  Il s'agit d'une vraie taxe.  Notre modeste employé de vidéo-clubs (oui, le livre se passe dans les années 1990), doit bien plus de cinq millions de couronnes.  Pourquoi ? La femme qu'il a au téléphone lui explique tranquilleme

  Adèle Bréau Bien mais... Je vous ai raconté dernièrement ma lecture du Jeux des garçons d'Adèle Bréau. J'avais commencé ma lecture de cette saga par le tome deux mais je n'avais pas pu m'empêcher de le lire complètement tout de même.  Me voici, donc, de retour avec le tome un de cette saga : La cour des grandes.  Et, je dois dire que j'ai pris plaisir à lire ce premier tome et à retrouver nos personnages.  Nous avons, donc, Alice (surement mon personnage préféré). La douce Alice travaille dans un restaurant.  Elle vient de se séparer de son époux. Ce dernier lui préférant une jeunette, et, elle se noie (un peu) dans son travail pour oublier tout cela.  Ensuite, nous avons Eva. Elle rêve d'avoir un enfant. Mais, son mariage avec Vincent bat de l'aile. Même si le couple ne se l'avoue pas.  Nous avons Mathilde qui gère mari et enfants, et, ce même si son mari est au chômage. Elle régente son petit monde quitte à se faire passer pour la mégère de service.

  Toshiya Higashimoto  Toujours aussi addictif Les mardis se suivent et se ressemblent sur mon blog. Chaque mardi, je fais une chronique sur une Bande Dessinée ou un Manga et, depuis quelques semaines, ce manga est : Le Bateau de Thésée.  Lentement mais surement, j'arrive à la fin de la saga.  Eh oui, ce neuvième tome est l'avant-dernier tome de cette série.  Et, comme toujours, je vous préviens que je vais absolument tout SPOILER.   Shin est, donc, revenue dans son passé et espère empêcher la tuerie. Pour cela, il est aidé par son père. Et, son père sait que si ils échouent, c'est sur lui que retombera la tuerie.  Cela se confirme lorsque le directeur de l'école le charge de la sécurité pour la fameuse fête de l'école.     Mais les deux hommes n'ont pas conscience que le danger est beaucoup plus près d'eux. En effet, ils pensent avoir un coup d'avance en connaissance l'avenir mais... il semblerait que l'assassin le connaisse aussi.  Ainsi, en en

  Joyce Carol Oates Très bien ! Comme vous le savez maintenant, j'aime beaucoup Joyce Carol Oates, et, je le redis, encore une fois, je pense qu'elle aurait mérité d'obtenir cette année le prix Nobel de littérature. Joyce Carol Oates a prouvé, à maintes reprises, qu'elle était capable d'écrire dans tous les styles littéraires.  Cette fois, elle distille son talent dans des nouvelles réunies dans ce recueil, Cardiff, près de la mer.  Les nouvelles de ce livre sont mystérieuses, malaisantes et elles sont vraiment à lire ! La première nouvelle est, selon moi, la plus réussie. Une jeune femme, adoptée, se retrouve avec un leg de sa grand-mère.  Sa grand-mère biologique.  La jeune femme, curieuse, qui n'a jamais eu la moindre information sur ses parents se rend, donc, chez ses grandes-tantes biologiques.  Ceux sont elles qui ont les clefs de son abandon.  Et, la jeune femme n'est vraiment pas au bout de ses (mauvaises) surprises. Je n'en dis pas plus car Joyc