Sur le ciel effondré
Colin Niel
Lent !
Vous le savez maintenant : j'ai beaucoup aimé les deux romans de Colin Niel que j'ai lus. C'est, donc, tout naturellement que je me suis tournée vers d'autres romans de cet auteur.
Et, j'ai choisi de lire Sur le ciel effondré.
Angélique est adjudante et a eu une conduite héroïque lors d'un attentat qui l'a défiguré.
Son acte de bravoure lui a permis d'obtenir une mutation en Guyane. Là, elle côtoie le peuple des Wayanas.
Et, c'est sur la disparition d'un jeune garçon de ce peuple qu'Angélique doit enquêter.
L'adolescent de quinze est, en effet, porté disparu depuis une fête d'anniversaire. Est-il mort ? Beaucoup le croient.
Beaucoup pensent que, comme nombre d'enfant Wayanas, il a décidé de se tuer.
Pourtant Angélique veut enquêter.
Et aller au bout de son enquête.
Il faut préciser que celle-ci n'est pas indifférente au père de l'adolescent et qu'elle aimerait plus que tout lui ramener son fils en vie.
L'enquête d'Angélique va la mener chez des évangélistes, chez des orpailleurs mais aussi chez les familles d'accueil des Wayanas.
Angélique n'est, donc, pas au bout de ses surprises...
Je dois dire que j'ai été beaucoup moins convaincu par Sur le ciel effondré que par les autres romans de Colin Niel.
J'ai trouvé le livre vraiment long et aussi très lent à vraiment démarrer.
Évidemment, j'ai encore lu un roman policier dans le désordre puisque Sur le ciel effondré est le quatrième tome de la saga amazonienne de Colin Niel.
Et, c'est peut-être cela qui ne m'a pas permis d'entrer dans le livre immédiatement. Je ne connaissais pas les personnages principaux et je n'avais donc pas l'empathie nécessaire pour m'intéresser à eux.
J'ai vraiment trouvé le livre lent : on va sur pleins de pistes différentes et je ne comprenais pas où Colin Niel voulait vraiment nous emmener.
Vers la fin du livre, j'ai réussi (mais un peu tard) à m'intéresser aux différentes intrigues développées dans le roman, et, j'ai beaucoup aimé la fin du roman.
Malheureusement, cela ne rattrape pas toutes les errances du livre car pour le coup, je suis vraiment restée sur ma faim avec Sur le ciel effondré.
Darwyne : chronique à venir
Les livres lents me rebutent un peu.
RépondreSupprimerJe préfère passer mon tour.
Je te comprends : selon moi, ce n'est pas le meilleur de Colin Niel
SupprimerLe cadre avec la Guyane m'intrigue parce que c'est rare de voir un livre se passant là-bas.
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