The revolution of Ivy

 

Amy Engel

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Moins bien

Il y a quelques semaines, je vous ai parlé du premier tome de cette saga d'Amy Engel. Je l'avais bien apprécié car les personnages n'étaient pas aussi stéréotypés que je l'avais pensé et j'avais, également, beaucoup aimé l'univers construit par Amy Engel. 
 
Ce deuxième tome commence, immédiatement, après la fin du premier. 
Ivy se retrouve, donc, derrière cette fameuse barrière puisqu'elle a été condamné à l'exil. Et, j'étais, donc, très heureuse de savoir, enfin, ce qui se passait derrière la barrière et j'étais, tout autant, avide de savoir comment aller se terminer l'histoire. 

Et, si j'ai, pas mal apprécié, le début du roman, je vous avoue que la fin m'a laissée plus dubitative. Comme souvent, je vais, donc, passer en mode SPOILER pour vous parler de mon ressenti. Et, je vous conseille, donc, de ne pas lire la suite de ma chronique si vous n'avez pas lu The revolution of Ivy. 

Comme je vous le disais, le début du roman m'a plutôt enthousiasmée. En effet, j'étais contente de voir l'évolution d'Ivy et surtout j'ai beaucoup aimé l'apparition de deux nouveaux personnages. Je trouve qu'ils apportent vraiment de la fraicheur à l'histoire, et, une nouvelle dynamique. 
Par contre, j'ai trouvé que le rythme restait très très lent. On ne comprend pas toujours pourquoi Ivy ment et surtout on ne comprend pas du tout ces premières réactions face à Bishop. 
Ensuite, tout s'accélère mais soyons honnête, la fin est un peu trop voire beaucoup trop faciles. La mort de la sœur d'Ivy se sent venir à des kilomètres et la mort des pères des deux personnages principaux est vraiment une ficelle énorme (ce qui donne l'impression que la guerre n'était due qu'à ces deux hommes au final). 
Et, je trouve que les deux personnages principaux prennent plutôt bien la nouvelle. 
Ivy n'évoque jamais le fait que son père veuille protéger sa sœur alors qu'il n'a rien fait pour elle. Et, Bishop se dira juste : "ben, mon père s'est fait assassiner mais bon il n'était pas parfait". 
On ne peut pas dire que l'amour filial soit bien décrit. 

En résumé, je trouve que la fin du livre est beaucoup trop précipité et qu'Amy Engel a vraiment manqué de psychologie pour écrire la fin de son histoire. 
Je ressors, donc, de ma lecture assez déçue, ou, en tout cas moins enthousiasmée que lors de ma lecture du premier tome.

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