Je lis beaucoup de littérature anglaise : mes auteurs préférés ? Jane Austen, Daphné Du Maurier et Agatha Christie.
J'aime aussi parler thrillers et séries télévisées. Mon héroïne de séries préférée : Buffy !
Michel Bussi Un peu déçue Comme vous le savez, j'aime beaucoup les romans de Michel Bussi. J'en veux, pour preuve, le nombres de chroniques concernant cet auteur sur mon blog. Je trouve qu'il arrive toujours à nous retourner le cerveau en nous posant des problèmes qui semblent insolubles mais qui, au final, trouve une résolution satisfaisante. Nymphéas noirs est un peu de cela. Il commence avec l'histoire de trois femmes, et, dès le préambule, nous le savons deux vont mourir dans les treize prochains jours. Ces trois femmes sont : une enfant de onze ans qui ne vit que pour la peinture, une très belle institutrice et une vieille femme qu'on pourrait qualifier de folle, qui semble tout savoir. Toutes habitent Giverny, le village cher des peintres et celui de Claude Monet. Toutes aimeraient partir de ce petit village. Et, un meurtre va troubler la quiétude de ce village. Ce meurtre, c'est celui de Jérôme Morval. Un ophtalmologue amateur d'art, coureur de
Michel Bussi Michel Bussi en fait toujours trop ! Eh oui, me voici, repartie avec la lecture d'un roman de Michel Bussi. Si vous avez lu mes chroniques précédentes sur cet écrivain français et ses romans, vous savez que je loue ses qualités de conteurs. Oh oui, avec Michel Bussi, il est toujours difficile de lâcher un roman. On veut toujours connaître le fin mot de l'histoire tant celle-ci nous semble insoluble. Mais voilà, Michel Bussi a aussi des défauts dont celui d'en faire trop. Et, comme vous le voyez, dans ce livre, Trois vies par semaine, je trouve que c'est franchement le cas. Voici le début du livre : Un homme est retrouvé mort. Son corps est retrouvé dans la vallée de la Meuse. La capitaine de police, Katel Martelle, se pose des questions : est-ce un meurtre ou un suicide ? Cela pourrait même être un simple accident. Cela pourrait être une petite enquête de routine... Mais, cela n'es sera pas une, la capitaine le comprend presque immédiatement. P
Scarlett St Clair Mitigée J'ai demandé ce livre numérique sur le site Netgalley parce que j'en avais beaucoup entendu parler et que je me disais que ce roman allait forcément me plaîre. Je commence, donc, en disant que je suis passionnée de mythologie. Je ne connais pas tout, loin de là mais j'ai lu de nombreux titre ayant ce thème. Pour moi, Hadès et Perséphone, c'est, donc, l'histoire d'un kidnapping. Oui, Perséphone ne voulait pas vraiment que son oncle, Hadès, fasse d'elle sa reine. Dans la mythologie, il est intéressant de noter qu'on a jamais ou quasiment jamais la voix de Perséphone. Démeter, la mère de Perséphone, est furieuse contre Hadès et profondément malheureuse de la disparition de sa fille. Hadès lui n'en démord pas, il veut garder Perséphone aux Enfers. Et, que veut Perséphone ? On ne le sait pas. Dans ce troisième tome de Hadès et Perséphone, j'ai bien compris que Perséphone était follement amoureuse d'Hadès et qu'el
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