Yannick Corboz et Stephen Desberg
Moyen
Comme tous les mardis, je vous présente une bande dessinée.
Et, ce mardi, j'ai choisi de vous présenter la bande dessinée : Les rivières du passé. Je viens, en effet, de terminer le premier tome de cette série.
Je l'ai choisi, comme souvent également, complètement par hasard. Je vous avoue avoir été séduite par la jolie couverture et j'étais curieuse en voyant le titre : la voleuse.
Mais, que raconte cette bande dessinée ?
Lynn vit à Paris.
Et, elle fait la seule chose que son père lui a transmise et la seule chose qu'elle sait vraiment faire. Lynn vole.
Son appartement est même pleins des objets qu'elle vole chaque nuit.
Lynn est même repérée pour son talent (oui, un peu comme dans the Voice sauf que là cela serait plutôt The Thief).
Elle est engagée pour voler une antiquité égyptienne.
Mais, toute douée qu'elle est, Lynn va se rendre qu'elle a volé un objet convoité par beaucoup de monde.
Et, de chasseuse, elle devient alors la chassée.
Chose que Lynn n'a pas l'habitude d'être.
Que dire sur cet album ?
Tout d'abord, je dois dire que la bande dessinée est hyper confuse. On est en 2016 d'après la date, mais, on se retrouve dans un Paris du Moyen Age.
Je me suis demandée si j'avais loupé un chapitre. Ensuite, on revient dans un Paris contemporain où on découvre l'histoire de Lynn et de son vol de bijoux...
Honnêtement, je n'ai pas trouvé le personnage principal très intéressant ou sympathique ou même simplement approfondi.
De plus, je dois aussi avouer que je n'ai pas particulièrement accroché aux traits. Du coup, j'ai lu la bande dessinée d'une traite mais sans véritable passion.
Comme le tome deux est dans la bibliothèque municipale que je fréquente, je lirais, peut-être, la suite mais je n'en suis pas totalement sûre.
Et vous ? Connaissez-vous cette BD ?
Je ne connaissais pas et elle pourrait me tenter même si j'espère que le côté confus ne va pas me perdre...
RépondreSupprimerOui, je suis franchement mitigée. J'ai mis du temps avant de comprendre et en lisant les critiques sur Babelio, je me suis rendue compte que je n'étais pas là seule.
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