Joueuse

 

 Benoît Philippon

photo de couverture image critique résumé photo chronqiue blog avis critique

 Un bon début mais...

 J'ai choisi ce livre, un peu par hasard et beaucoup séduit par la couverture. Je trouve, en effet, que la couverture de ce roman : Joueuse est vraiment très réussie.
Je n'avais jamais entendu parler de Benoît Philippon mais j'ai vu, en écrivant cette chronique, que cet auteur avait déjà plusieurs romans à son actif.
 
Le début du roman m'a vraiment plû : nous avons trois personnages principaux qui sont cabossés par la vie.
Tout d'abord, nous avons  Zack qui a appris à jouer au poker à la dure avec son père. Pas du genre aimant, le père de Zack l'a laissé sans rien. La seule chose que le père de Zack est transmise à son fils est une passion pour ce jeu. 
Ah non, j'oubliais : il a aussi appris à Zack à tricher.
 
Et, aujourd'hui, Zack triche avec son meilleur ami qu'il surnomme Baloo. Pourquoi Baloo ? Parce qu'"il en faut peu pour être heureux"... Vous connaissez la suite... Un surnom ironique car Baloo est sujet à la dépression et a fréquemment des envies de suicide. Il faut dire que Baloo a perdu toute sa famille lorsqu'il était enfant. 
Un accident de voiture dont il est le seul survivant.
 
Et à ce duo de tricheurs, va s'ajouter une femme : Maxine.  On ne sait pas grand chose d'elle, au début de l'histoire, si ce n'est qu'elle joue parfaitement au poker, qu'elle a de graves fêlures et qu'elle veut embaucher le Zack et Baloo pour affronter le plus grand joueur de poker... 
 
Comme je l'ai dit, au début de ma chronique, j'ai beaucoup aimé le début de livre. J'ai trouvé les personnages très attachants et très intéressants.
Malheureusement, l'histoire a continué avec beaucoup trop de violence.
J'ai eu l'impression que les scènes de brutalité s'enchaînaient. De même, j'ai eu la sensation que l'auteur en faisait trop dans les sévices subis par les personnages.
J'ai vu cela comme une surenchère inutile
 
C'est vraiment dommage car l'histoire se serait suffit à elle-même sans la succession de scènes de violence. 
Ces scènes me sont vite devenus insupportables et cela m'a complètement sorti de l'histoire. 
Je suis, donc, ressortie assez déçue par ma lecture comme vous pouvez en douter en lisant ma chronique, mais, l'écriture de Benoît Philippon m'a suffisamment plû pour me donner l'envie d'en découvrir plus sur cet écrivain.

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