Astérix en Lusitanie
Fabcaro et Didier Conrad
Bien
Cela fait quelques semaines que j'ai bien dû mal à honorer notre rendez-vous bande dessinée du mardi mais je vais essayer d'y remédier dorénavant.
Comme vous le voyez, cette fois, je m'attaque à une sortie récente puisque je vous présente le dernier album d'Astérix en date.
Je préfère préciser en commençant ma chronique que je n'ai jamais lu toutes les bandes dessinées d'Astérix.
J'ai été plutôt friande, enfant, des dessins animés (Astérix et Cléôpatre et les Douze travaux d'Astérix étant mes préférés).
Habitant dans l'Oise, j'ai aussi passé beaucoup de temps enfant, adolescente et jeune adulte dans la Parc Astérix.
Pour moi, Astérix fait donc vraiment parti de la culture populaire.
J'ajoute aussi que j'apprécie particulièrement Fabcaro en tant qu'écrivain et auteur de bandes dessinées comme en témoigne mes chroniques sur ce blog.
Si, je précise tout cela, c'est que j'ai lu beaucoup de critique sur ce dernier album et il semble que les véritables connaisseurs des bandes dessinées Astérix soient plutôt déçu de ce 41è album.
Comme vous le comprenez, ce n'est, donc, pas mon cas.
Tout commence par l'arrivée d'une galère commerciale dans le village qui résiste encore et toujours à l'envahisseur.
Là, on annonce qu'on a besoin des gaulois en Lusitanie afin de sauver un malheureux marchand des lions de Jules César.
Rien de nouveau sous le soleil gaulois, me direz-vrai.
Il est vrai que cette aventure ressemble à d'autres aventures d'Astérix et Obélix.
De mon côté, j'ai apprécié les planches colorées mettant bien en valeur le Portugal ainsi que tous les clins d’œil à ce joli pays (le fado, la maçonnerie et... la morue arrivant en tête).
Obélix est vraiment la touche d'humour de cette bande dessinée : j'ai adoré lire ces répliques lorsqu'il imite les lusitaniens.
L'intrigue n'est certes pas un modèle de suspense mais Astérix et Obélix n'a jamais été une série à suspense.
J'ai franchement souri sur certaines planches et j'ai trouvé que cet album était réussi.



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