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Les derniers épisodes de séries les plus décevants

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Quoi de plus frustrant quand on suit des séries télévisées depuis tant d'années d'avoir une fin décevante ? Voici une petite liste des séries qui m'ont énormément déçu : Lost, les disparus : Souvenez-vous : Lost a démarré en 2004 et avait tout pour intriguer. Une île mystérieuse, des personnages pleins de secrets, des révélations sur leur passé à chaque épisode, un ours polaire sur une île déserte, des murmures, un monstre fait de fumée,... La première saison était géniale . La deuxième se tenait encore. Et puis, ce fut la dégringolade ! Avec encore quelques bonnes idées  qui font que je n'ai pas décroché tout de suite : l'arrivée en bateau de Faraday, Miles et Charlotte,... Puis le voyage dans le temps et la vie dans la Dharma initiative... Mais la saison 6 , qui fut la dernière, est catastrophique .  Les scénaristes ne savent pas où ils vont et ça se voit ! Ils partent dans un délire mystique très gênant. Même les acteurs ne

La sirène

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Camilla Läckberg  4e de couverture : Un homme a mystérieusement disparu à Fjällbacka. Toutes les recherches lancées au commissariat de Tanumshede par Patrik Hedström et ses collègues s'avèrent vaines. Impossible de dire s'il est mort, s'il a été enlevé ou s'il s'est volontairement volatilisé.  Trois mois plus tard, son corps est retrouvé figé dans la glace. L'affaire se complique lorsque la police découvre que l'une des proches connaissances de la victime, l'écrivain Christian Thydell , reçoit des lettres de menace depuis plus d'un an. Lui ne les a jamais prises au sérieux, mais son amie Erica , qui l'a aidé à faire ses premiers pas en littérature, soupçonne un danger bien réel. Sans rien dire à Patrik, et bien qu'elle soit enceinte de jumeaux, elle décide de mener l'enquête de son côté.  A la veille du lancement de La Sirène , le roman qui doit le consacrer, Christian reçoit une nouvelle missive. Quelqu'un le

Deuils de miel

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Franck Thilliez 4e de couverture : Une femme est retrouvée morte, agenouillée, nue, entièrement rasée dans une église. Sans blessures apparentes, ses organes ont comme implosé. Pour le commissaire Sharko , déjà détruit par sa vie personnelle, cette enquête ne ressemblera à aucune autre, car elle va l'entraîner au plus profond de l'âme humaine : celle du tueur... et la sienne. Mon avis : Un thriller haletant ! Me voici, de nouveau, avec une série d'enquêtes commencée en plein milieu. Le commissaire Sharko a en effet subi un lourd traumatisme raconté dans le roman Train d'Enfer pour ange rouge . Roman que je n'ai donc pas lu mais dont j'ai compris la fin puisque nous retrouvé le commissaire Sharko brisé par la mort de son épouse et de sa fille dans un accident de voiture. Sharko est même bien perturbé puisqu'il entend les voix de sa femme et de fille lorsqu'il est seul, qu'il fait de lourds cauchemars et qu'il

Mes personnages secondaires préférés dans les séries télévisées

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Après  mes personnages secondaires préférés dans la littérature , voici ceux que je préfère dans les séries télévisées : Gunther dans Friends : Le "septième friends", il me faisait toujours énormément rire surtout quand il remettait Ross à sa place : Ross avait / a le don de m'agacer. Son amour à sens unique pour Rachel qui ne se rend compte de rien... Et surtout lors des derniers épisodes, j'adore comment il coupe l'herbe sous le pied à Ross (ai-je dit que Ross m'agaçait beaucoup par moment ?) en déclarant enfin son amour à Rachel (la réaction de Ross me fait toujours rire). Anya dans Buffy contre les vampires : J'ai déjà dit que  j'adorais Buffy contre les vampires . C'est une série émouvante et drôle et Anya incarne parfaitement ces deux côtés de la série. J'adorais ces moments où elle faisait des commentaires parfaitement déplacés aux pires moments et je la trouvais terriblement touchante après qu

Grâces lui soient rendues : Paul Durand-Ruel, le marchand des impressionnistes

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Pierre Assouline 4e de couverture : "On passe une vie à tourner autour de quelques êtres et ils finissent par nous habiter à notre insu. Paul Durand-Ruel fut la présence secrète de mes livres sur Kahnweiler, Camondo, Gallimard et Cartier-Bresson ; aussi ai-je choisi de lui rendre grâces à mon tour sous la forme d'un récit forcément impressionniste, aussi sensible à ce qui part du dedans qu'à ce qui arrive au-dehors.  "Comment devient-on une légende ? Cette question pourrait résumer l'intention de ma biographie autant que l'existence de Paul Durand-Ruel (1831-1922). Une suite de drames, d'échecs, de coups du sort, de débâcles - comme ce 24 mars 1875 à Drouot, où un Renoir vaut à peine 180 francs -, qui tous ont renforcé une conviction comparable à la foi religieuse : être l'initiateur et le passeur d'une école de peinture. Cet homme d'ordre politique et moral agit comme mécène et marchand d'une révélation artistiqu

La Passe-miroir : La mémoire de Babel

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Christelle Dabos 4e de couverture : Deux ans et sept mois qu' Ophélie se morfond sur son arche d'Anima .  Aujourd'hui, il lui faut agir, exploiter ce qu'elle a appris à la lecture du Livre de Farouk et les bribes d'information divulguées par Dieu.  Sous une fausse identité, Ophélie rejoint Babel, arche cosmopolite et joyau de modernité. Ses talents de liseuse suffiront-ils à déjouer les pièges d'adversaires toujours plus redoutables ? A-t-elle la moindre chance de retrouver la trace de Thorn ? Mon avis : Toujours aussi addictif ! A peine fini le tome II des aventures d'Ophélie, je n'avais plus qu'une idée en tête : découvrir la suite. Suite que j'ai avalé en un week-end ! Et à la fin de ma lecture, je n'ai plus qu'une question : comment vais-je attendre le tome 4 ? La fin du tome deux m'avait brisé le cœur :  Thorn quittait Ophélie sans que celle-ci ait eu le temps de lui dire qu'elle ava

Quelle époque !

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Anthony Trollope 4e de couverture : Augustus Melmotte est un financier véreux.  De ces capitalistes à la morale douteuse qui lancent de vastes opérations spéculatives pour piéger les investisseurs naïfs.  A ses côtés jeunes gens de bonne famille désargentés et voleurs, romancières sans talent, politiciens malhonnêtes et journalistes menteurs pour qui la triche est une seconde peau.  Car dans le Londres victorien, on trompe, séduit et arnaque comme on respire, on s'adonne à la satire et cela prend des airs furieusement contemporains. Mon avis : Un roman acide sur l'Angleterre de l'époque victorienne ! Quelle époque ! est un titre très bien choisi ou plutôt traduit (le titre original est : The way we live now ) pour ce roman satirique d'Anthony Trollope. L'auteur nous offre un cocktail de personnages détonants et savoureux . Nous trouvons donc dans ce roman Lady Carbury , romancière médiocre, et ses deux enfants : Féli