Jane Austen, Daphné Du Maurier et les autres... Parlons littérature anglaise!

  Florent Maudoux Heureuse de retrouver Freaks' Squeele Je ne sais pas si vous vous en rappelez, mais il y a (déjà) trois ans, j'avais découvert la série de bande dessinée Freaks' Squeele et je l'avais adoré.  Bien entendu, je n'avais pu m'empêcher de préférer certains tomes (que je trouvais plus aboutis) à d'autres mais j'avais surtout passé un excellent moment de lecture.  Aussi lorsque j'ai vu qu'il existait des séries "spin off" de freaks' squeele, j'ai forcément voulu les essayer.  Ce premier spin off met à l'honneur Funérailles, Figure mythique et mystérieuse de Freaks' squeele.  Je suis très contente de retrouver ce personnage et d'en apprendre plus sur sa jeunesse et son passé.  Tout commence, donc, dans la mystérieuse cité de REM. Un couple se forme. Un couple à la Roméo et Juliette.  Pour gagner le cœur de sa belle et obtenir le droit de l'épouser, l'homme doit passer mille et une épreuves (j'ex

  Frédéric Lenormand Plaisant Eh oui, me revoici avec le tome sept de la série Au service secret de Marie Antoinette. Comme vous le savez maintenant, cette série met en scène deux détectives privés de la reine de France : Rose Bertin et Léonard.  L'une est modiste, l'autre est coiffeur.  Les deux se querellent constamment mais font mine de rien pour plaire à sa Majesté, la Reine Marie Antoinette. Dans ce septième tome, un troisième larron va rejoindre le duo. Il ne s'agit ni plus ni moins que du Chevalier D'Eon.  Vous savez ce chevalier qui aimait temps se travestir en femme ? A tel point que certains se demandent si ce n'est pas plutôt une femme travesti en homme.  On en sait pas plus mais le moins qu'on puisse dire c'est que le chevalier est en bien mauvaise posture. Son assistant ou plutôt son esclave vient de se faire assassiner.  El, le chevalier est tout désigné comme coupable idéal.  Par chance, Marie Antoinette s'est pris d'amitié pour lui /

 Antoine Aubin, José-Louis Bocquet et Jean-Luc Fromental    Très bien Comme vous le savez maintenant, j'ai découvert le duo Blake et & Mortimer sur le tard. Cela ne m'empêche pas (bien au contraire) de me jeter sur les nouveaux tomes de la série à chaque fois qu'un nouveau livre sort.  Ce vingt-neuvième tome de la série me plaît d'autant plus qu'il y a beaucoup moins de science-fiction (voire pas du tout) et que nous somme dans l'Histoire pure et dure.  Nous sommes, donc, au début de la bande dessinée en 1963. En pleine guerre froide donc.  Blake est appelé à Berlin où un espion a été abattu.  Pendant ce temps, Mortimer doit rejoindre une mission archéologique dans l'Oural où sept cadavres, qui n'ont rien d'anciens, ont été retrouvés.    Ici nous retrouverons, donc, tout ce qui fait le sel des aventures de Blake et Mortimer. Le dessin est toujours aussi fidèle à l'original et les planches toujours aussi réussies.  Nous retrouverons, bien ente

  Sylvie Baron  Bien mais...  Le  titre, le cercle des derniers libraires, m'a immédiatement tapé dans l'oeil. Pour ceux qui l'ignorent, je suis bibliothécaire, et j'aime particulièrement les livres se rapportant aux métiers du livre.  Ce roman de Sylvie Baron fait effectivement l'apologie de ces métiers, et, cela m'a vraiment fait plaisir.  D'ailleurs, je Sylvie Baron est bien renseignée car elle parle avec justesse des études nécessaires et de nos logiciels.  Cela m'a à la fois surprise et ravie.  L'histoire commence avec un fou du vélo, journaliste sportif, bien mal au point après un accident. Le cycliste s'appelle Adrien Darcy mais n'allez pas lui parler de son homonyme, héros d'Orgueil et préjugés, il n'en a pas entendu parler.  Notre Monsieur Darcy est, lui, féru d'actions et il va voir son chef parce que, malgré son arrêt de travail, il désire travailler.  Son chef lui répète qu'il ne peut pas lui donner de mission qui

  John Wainwright  Excellent J'ai lu, il y a quelques mois, Une confession de ce même auteur, John Wainwright, et j'avais beaucoup aimé ma lecture. J'ai, donc, tout naturellement décidé de lire un autre livre de cet écrivain et je dois dire que j'ai tout autant aimé ma lecture que précédemment.  D'ailleurs, j'ai vu bien des similarités entre les deux livres et cela m'a vraiment fait sourire.    L'histoire commence d'une drôle de manière. Un homme se rend à la police : il dit qu'il a tué son épouse.  Et, en effet, son épouse est morte quelques mois auparavant. Une crise cardiaque selon les médecins. Pourtant, l'époux, Herbert, un pharmacien, n'en démord pas : il a tué sa femme.  Nous sommes dans les années 1980, et, le policier qui reçoit Herbert Grantley, ne le croit pas. En garde à vue, Herbert se met à raconter son mariage calamiteux avec une femme qu'il n'a aimé pas assez longtemps.  Depuis quasiment toujours, le couple vivait

  Masasumi Kakizaki  Bien Il y a quelques semaines, je voulais parler du premier tome des amants sacrifiés . J'avais pas mal apprécié ce manga et je voulais, donc, vraiment en connaître la suite.  Eh oui, on ne se refait pas.  Dès que je commence une série de manga, j'ai envie d'enchaîner les tomes et de découvrir le fin mot de l'histoire.    Nous étions, donc, en pleine seconde guerre mondiale au Japon.  Le Japon choisissait de profiter de cette guerre pour s'installer en Indochine et pour défier les Etats-Unis.  C'est dans ce contexte que Yusaku voit peu à peu son pays prendre le mauvais chemin. Lui, est du côt" des Etats-Unis.    Pour le gouvernement japonais, Yusaku est un traître.  Pou son épouse, Satoko, la situation est plus difficile à définir. Elle est amoureuse de son époux mais ne se sent pas prête à trahir son pays pour autant.  Elle ne sait que trop bien ce qui pourrait arriver au Japon si les Etats-Unis se décidait à les attaquer.  Et, pourtan

  Frédéric Lenormand  Plaisant Non, vous ne rêvez pas ! Une nouvelle fois, je vous donne une chronique sur un tome de la série, Au service secret de Marie Antoinette, de Frédéric Lenormand. En relisant mes anciennes chroniques, je me suis rendue compte que j'avais oublié un point important concernant ce titre : les livres sont vraiment très bien écrits.  Eh oui, en plus de l'humour que je décris à chaque nouvelle chronique, je trouve que Frédéric Lenormand a une écriture très fluide et très légère.  C'est surtout pour cela que je continue de lire cette série malgré les petits défauts que je souligne à chaque fois.  Dans ce sixième tome des aventures de Rose Bertin et de Léonard Autier, la reine Marie Antoinette s'ennuie.  Oui, elle s'ennuyait déjà auparavant mais c'est encore pire depuis qu'elle est enceinte (et qu'elle s'entend dire qu'avoir une fille serait une calamité).  La reine est envahie par les courtisans et les discussions ne lui convie

  J. M. Erre   Bof Il y a quelques années, j'avais enchaîné les romans de J. M. Erre. Je l'avais découvert, complètement par hasard, et j'avais apprécié son côté loufoque et déjanté.  Ceux qui suivaient déjà ce blog à cette époque se rappelle, peut-être, avoir été envahi de chroniques parlant de cet écrivain français.    Seulement voilà...  Ai-je vieilli ? (La réponse est clairement oui) Mon humour a t-il changé ? (C'est peut-être le cas) J. M. Erre est-il moins drôle ? (J'aimerais tant répondre non avec certitudes)   Le fait est que J. M. Erre me fait beaucoup moins rire, voire, ne me fait plus rire du tout.  Ce livre est, je trouve, paresseux.  Pas vraiment de fil rouge dans ce roman. Le livre est un condensé de ses autres romans, pour ne pas dire une ôde (ironique, je l'ai bien compris) aux anciens romans de J. M. Erre.  Vous savez, cela m'a fait penser aux épisodes de friends qui sont pleins de flash-back sur les anciens épisodes de friends.  C'est u

  Jeffrey Eugenides Assez bien... Jeffrey Eugenides est l'inoubliable auteur du roman, Virgin Suicides. Et, je l'avais découvert, pour ma part, avec le livre, Le roman du mariage.  Le roman du mariage était un livre inspiré par l'univers de Jane Austen (eh oui, on ne se refait pas) et je l'avais assez apprécié.    C'est, donc, pour cela que j'ai choisi d'emprunter  Des raisons de se plaindre à la bibliothèque municipale.  Ce livre est, en réalité, un recueil de nouvelles et je dois vous dire que malheureusement je n'ai pas été totalement convaincu par ces dernières.  La première nouvelle, Les râleuses, m'a bien plue.  Elle parle de deux femmes, l'une étant plus âgée que l'autre, et de leur amitié incassable. La femme la plus âgée commence à montrer des signes de sénilité et son amie est là pour elle.  C'est une histoire très mignonne que j'ai beaucoup apprécié.  Mais les autres nouvelles sont, d'après moi, un peu plus oubliables. 

  Joanne Fluke Bien mais... Eh oui, après avoir dévoré le premier tomes des Enquêtes d'Hannah Swensen, je voulais, bien entendu, réessayer une de ces enquêtes.  Et, c'est, donc, chose faite avec ce deuxième tome : Meurtres et charlottes aux fraises.  Avez-vous remarqué qu'en ce moment je faisais l'effort de lire les romans policiers dans l'ordre adéquate ? Non ? Eh bien : je vous le dis.  En ce moment, je ais l'effort de lire des romans policiers dans le bon ordre.  Hannah est donc, de nouveau, dans sa boutique de cookies (Miam) après avoir résolu un meurtre qui a permis à son beau-frère de devenir inspecteur.  Et, Hannah est bien décidée à laisser cette histoire derrière elle. Eh oui, elle a d'ailleurs décidé de participer au concours du meilleur pâtissier de la ville. Hannah sera un peu la référente "pâtissière" de l'émission de télévision locale et donnera chaque jour une nouvelle recette qu'elle présentera.  Pendant ce temps-là, les con

  Mitsu Izumi  Toujours aussi beau Eh oui, comme vous pouvez le constater, je continue ma découverte du manga : Magnus of the library. Il faut dire que je me régale en regardant chaque page de ce manga.  En tant qu'amoureuse des livres et bibliothécaire, je ne peux qu'être ravie en lisant cet ode aux livres et à notre métier de bibliothécaire.    Le jeune héros du manga a un rêve : devenir Kahunas. Comprenez qu'il veut devenir un bibliothécaire.  Pour cela, comme pour les bibliothécaires français, il doit passer un concours.  Et, ce concours est hyper sélectif (et est bien pire que les concours de la fonction publique). Notre jeune héros voit ses nerfs mis à rudes épreuves. Il a d'bord dû passer toute une journée à plancher sur un examen dans une petite cellule ressemblant à celle des moines.  De quoi rendre fou.  Ce qui arrive, d'ailleurs, à certains de ses camarades.  Ensuite, c'est l'épreuve orale qui arrive.    Enfin, notre héros participe à une épreuve

  Nita Prose Très bien J'ai choisi de lire ce roman grâce à sa très jolie couverture et à son titre si intriguant. Oui, comme tout le monde, je me dis qu'effectivement les femmes de chambres voient beaucoup de nous quand nous sommes à l'hôtel.  Celles qui s'occupent des palaces ont encore plus de chance de découvrir des secrets inavoués des grands riches de ce monde.   Encore une fois, je ne dois pas être la seule à être fascinée par les grands Hôtels ou par les palaces étant donné le nombre de reportages qui existent à ce sujet.  La femme de chambre de ce roman s'appelle Molly.  Elle travaille dans un prestigieux hôtel qui s'appelle : Regency Grand. C'est un palace. Tout doit être parfait pour les clients.  Molly est là pour tout remettre à sa place initiale et tout nettoyer.  Nous voyons ce monde à travers ses yeux.  Mais, Molly a une particularité.  Elle souffre d'un trouble autistique (même si ce n'est jamais clairement écrit dans le livre) qui

   Hannah Denninson Bien mais.. Toujours soucieuse de lire des livres en cohérence avec les saisons (c'est faux), j'ai décidé de lire le neuvième tome des Mystère de Honeychurch : Un Noël Mortel.  Comme vous le savez, j'aime assez cette série même si je déplore souvent que l'enquête policière est parfois très peu mise en avant ou très peu crédible.    Dans ce neuvième tome, Kat prépare une vente aux enchères de grande ampleur. En effet, les billets pour la vente sont vendus (extrêmement chers) et on a vendu aux habitant du bourg et de ses alentours la venue d'une célébrité mystère.  Autre objet de curiosité : Kat s'est vu offrir une poupée Barbie de grande valeur et ayant un vrai diamant pour collier.  Cette Barbie sera mise aux enchères au profit d'une association.  En bref, les billets se sont vendus comme des petits pains.  Et, Honeychurch est en ébullition.  Tout le monde se prépare à cette fête de Noël pas comme les autres.  En attendant, la Barbie si p

  Frédéric Lenormand Sympathique Je sais. Je sais.  À chaque chronique concernant cette série, Au service secret de Marie Antoinette, je dis que je ne suis pas convaincue par l'intrigue policière et que certaines scènes sont un peu ennuyeuses... Et pourtant, comme vous le voyez, je continue de la lire.  Pour ma défense, la bibliothèque municipale que je fréquente a toute la série et cela serait donc bête de ne pas en profiter... N'est-ce pas ? Et puis, je ne passe jamais un mauvais moment en lisant cette série. Comme je le répète (aussi) à chaque fois, le livre est franchement drôle. La série toute entière l'est. Il faut, donc, se faire une raison : cette série est plus humoristique que policière.  Et, ce n'est peut-être pas plus mal.  Dans ce quatrième tome, Marie Antoinette rencontre Messmer et est décidée à lui demander de l'aider pour tomber enceinte.  Cependant, elle est déçue en comprenant que l'aide de Messmer ne la dispensera pas de passer par le lit du

  Marie Bosch Poignant Après le nouvel an, Alice rentre, en compagnie de Marc, son époux et de son bébé, qui vient de naître, à Paris.  Seulement voilà, ils arrivent tous deux pour découvrir que leur appartement, dont ils sont propriétaires, est fermé.  Impossible de l'ouvrir. Les serrures ont été changées.  Comment est-ce possible ? Se répète Alice.  Leurs voisins alarmés par le bruit leur dit que leur logement a été vendu aux enchères, il y a quelques temps.  Et, que tout le monde était au courant de cela... Impossible, se répète Alice.  Marc, lui aussi, accuse le coup mais prend en main les choses. C'est lui qui appellera la banque et la police.  C'est lui que fera toutes les démarches. Puis, les jours passent.  Alice est logée chez une amie. Marc part au travail... Alice se dit qu'il est temps qu'elle prenne les choses en main surtout que la banque soutient que Marc était présent lors de la vente aux enchères. Usurpation d'identité ?  La vérité est plus sord