Mortels lundis


Dan Turèll


photo de couverture avis critique Ginkgo éditeur traduction de Sophie Grimal et Frédéric Gervais isbn 2-86479-020-5


Un roman noir à l'ancienne !



En empruntant ce roman, j'avais l'intention de sortir un peu de ma zone de confort. Vous me connaissez, lorsqu'un roman policier me plaît j'enchaîne souvent la série (et très souvent dans le désordre)... Ce qui fait que je lis très souvent les mêmes auteurs : Agatha Christie, Anne Perry, Camilla Läckberg,...

Et cette fois, j'ai emprunté un roman noir d'au auteur danois que je ne connaissais pas : Dan Turèll. Ce qui m'a attiré en premier lieu et la couverture du livre qui m'a fait penser aux anciennes couvertures des romans policiers de poche de la collection Le Masque.
Vous savez ces couvertures jaunes et noires :

photo de couverture avis critique le masque collection couverture jaune et noire



Mais cette fois, il ne s'agit pas vraiment d'un roman policier puisque nous ne verrons pas d'interrogatoires et de listes de coupables probables,...
Il s'agit réellement d'un roman noir où le héros principal est un journaliste à la vie amoureuse compliquée, où les policiers dépriment et où l'assassin frappe chaque lundi...

Eh oui, lorsque qu'un journaliste trouve, par hasard, le corps d'une jeune femme un lundi soir, il est loin de se douter qu'il en sera de même le lundi suivant, et le lundi d'après.

Le journaliste et l'inspecteur vont donc se retrouver et mener l'enquête afin de mettre fin à cette folie meurtrière.


À la fin de ma lecture, je suis plutôt mitigée sur ce roman. Je le trouve agréable à lire et je l'ai lu rapidement (preuve qu'il m'a intéressé) mais...

Mais, il m'a manqué ce petit quelque chose pour que je puisse dire avoir totalement aimé ce roman. 
Comme je l'ai dit, il ne s'agit pas d'un roman policier à proprement parlé et, moi, j'aime quand je lis des histoires de meurtres essayer de trouver le coupable...
Ici, il s'agit surtout de décrire la ville de Copenhague et la misère des quartiers pauvres.
L'ambiance est souvent lourde et l'humour est grinçant, cynique.

Peut-être que je ne suis tout simplement pas faite pour les romans noirs... Parce que ce roman est loin d'être mauvais au contraire mais j'ai eu dû mal à m'attacher aux personnages et à l'ambiance qui se dégageait de cette histoire...

Une lecture mitigée donc mais qui m'aura permis de connaitre l'auteur danois Dan Turèll.

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