On la trouvait plutôt jolie
Michel Bussi Il manque un petit quelque chose ! Eh oui, à peine fini Au soleil redouté que je repars dans un pavé de Michel Bussi. Ah, ce Michel Bussi ! Vous le savez aussi bien que moi et ce n'est pas Adely qui dira la contraire : quand on commence un de ses livres, on a absolument envie de connaitre la fin ! Pourtant, ce roman ne commence pas de la même manière que les autres. Dès les premières pages, nous connaissons l'identité de l'assassin. L'assassin c'est la fille de Leyli . Elle se prénomme Bambi et cet assassin : il faut bien avouer qu'on l'apprécie. On a beau savoir qu'elle assassine des hommes de sang froid... on l'apprécie... un peu trop. On lui trouve des excuses. Bambi a l'air si sympathique. Et puis, avec un prénom pareil, franchement ! Qui pourrait bien s'imaginer que derrière ce prénom de Bambi se cache une meurtrière. Non, vraiment, Bambi doit avoir une bonne excuse pour tuer des hommes. Et cette excuse, peut-on la trouv