Jane Austen, Daphné Du Maurier et les autres... Parlons littérature anglaise!

  Toshiya Higashimoto Toujours aussi prenant ! Eh oui, je viens (déjà) de finir le tome huit, et, je vous préviens j'ai déjà, entre les mains les tomes 9 et 10 (les deux derniers de la saga du Bateau de Thésée), vous savez, donc, ce qui vous attend pour les deux prochains mardis.  Comme d'habitude, je vous dis que cette chronique va totalement SPOILER l'intrigue, donc, ne continuez la lecture de cette chronique qu'à vos risques et périls. Nous retrouvons, donc, notre Shin à l'orée de la forêt où il s'était retrouvé dans le passé, la première fois.  A la fin du précédent tome, je pensais que nous allions nous retrouver immédiatement dans le passé mais ce ne fut pas le cas.  Oh non, Shin retrouve le meurtrier.  Ou celui que Shin pense être le coupable.  Oui, car j'ai l'impression que cela serait bien trop simple si le coupable était celui qu'on nous présente depuis le précédent tome.  Après cette confrontation, Shin se retrouve dans le passé.  Comme pr

  Toshiya Higashimoto Toujours aussi prenant ! Eh oui, je sors déjà ma chronique sur le tome sept du Bateau de Thésée. Comme vous le savez, maintenant, j'adore ce manga et je n'ai qu'une hâte : connaître (enfin) la fin de l'histoire.  Pour chroniquer ce tome sept, je préviens que je vais SPOILER toute l'intrigue des six tomes précédents et de celui-ci.  Au début de ce tome, Shin est toujours perdu dans le présent qu'il a modifié. Il a, néanmoins, quelques avantages puisqu'il retrouve son épouse.  Son épouse est, en effet, morte dans son présent. Mais, après son passage dans le passé, il a le plaisir de la retrouver bien vivante.  Par contre, dans ce présent-ci, ils ne se connaissaient pas et n'ont, donc, pas eu d'enfant ensemble.  Pendant que Shin redécouvre la femme qu'il aime, sa sœur Suzu, elle subit un grand chantage. Sa belle-mère refuse que le procès de son père soit rouvert... Et, pour cause, elle connait le coupable.  Elle sait très bien

  Toshiya Higashimoto   Excellent ! Que cela faisait longtemps ! Cela faisait vraiment longtemps que j'avais envie de découvrir la suite du Bateau de Thésée. J'attendais, tout simplement, que la bibliothèque municipale que je fréquente se procure la suite des aventures de  Shin. Alors, attention, dans cette chronique, je vais SPOILER les cinq tomes précédents et ce tome 6. Donc, continuez la lecture, seulement si cela ne vous dérange pas d'être spoilé.  Alors, dans ce sixième tome, nous retrouvons Shin dans un présent modifié. Eh oui, son passage dans le passé, à l'époque de l'empoisonnement des enfants de l'école primaire, n'a pas été sans conséquence sur son propre présent / Avenir.  Il découvre, ainsi, que son père est toujours en prison, et, qu'il est toujours accusé d'avoir empoisonné et tué les enfants de l'école primaire.  Dans ce nouveau présent, il n'a jamais connu son épouse (qui est devenue une journaliste) et n'a, donc, jamais

  Hideki Arai Formidable Sôsuke était un jeune infirmier en ehpad. Un aide-soignant japonais. Avant cela, il travaillait un peu comme un saltimbanque dans un milieu artistique. Il avait un spectacle de marionnettes avec ses collègues et amis.  Mais voilà, cela ne payait pas assez et il a préféré se trouver un "vrai" travail. Et, il a, donc, travaillé pendant quelques temps dans un ehpad.  Un métier difficile, il n'est pas besoin de le préciser.  Malheureusement pour Sôsuke, un jour, il fait tomber une dame âgée. Il trébuche alors qu'il poussait son fauteuil roulant et la dame tombe.  Six jours plus tard, elle est morte. Personne ne fait le lien entre la chute et la mort.  Mais, Sôsuke démissionne. Lorsque le manga s'ouvre, nous avons, donc, ce jeune homme qui est au 36e dessous. Il ne sait plus ce qu'il va faire. Il est seul. Il n'ose dire à personne qu'il a démissionné et pourquoi.  La seule personne qui prend soin de lui c'est  Mlle Shigemitsu, u

  Ryodô Awaya et Fumio Himatsu Très bon ! J'ai choisi de lire ce manga complètement par hasard. J'ai été attiré par la jolie couverture et après avoir lu les cinq premiers tomes du Bateau de Thésée, j'avais vraiment envie de lire un manga en un tome. Eh oui, j'ai éprouvé trop de frustration lorsque j'ai su que je ne pourrais pas lire la suite du Bateau de Thésée. Dans Dôgen, maître Zen, nous rencontrons un jeune garçon qui perd père et mère. Il est, alors, élevé par son grand-père qui voit en lui l'avenir de la famille.  Mais, Dôgen, lui, n'est pas d'accord avec la vie que lui a choisi son grand-père. Oh non, Dôgen désire devenir moine bouddhiste.  Il sent, au plus profond de son cœur, que c'est là sa destinée. Et, afin, de vivre la vie qu'il désire Dôgen choisit de fuir et de suivre les enseignements du Bouddha.  Dôgen va, alors, tout faire pour atteindre les voies du Bouddha. Devenir une meilleure version de lui-même, comme nous pourrions le di

  Toshiya Higashimoto Prenant ! Me voilà, de retour, avec la chronique du tome cinq du manga, Le Bateau de Thésée. Comme je vous l'ai dit dans ma précédente chronique, je suis un peu sous le choc (sans exagération, bien sûr :p), car je me suis rendue compte récemment que les tomes suivants n'étaient pas dans la bibliothèque municipale que je fréquente.  Je croise, donc, les doigts pour que la bibliothèque les acquièrent bientôt (et, croisez les doigts avec moi) car j'ai vraiment envie de connaître la suite de cette histoire.  Dans ce tome cinq, Shin, est, donc de retour, dans le passé modifié qu'il a créé en intervenant dans son propre passé. Dans ce présent, son épouse morte dans son autre présent (vous suivez toujours ?) est toujours bien vivante sauf que Shin ne l'a jamais rencontrée et qu'il n'a, donc, pas d'enfant.  Son épouse est, dans ce présent, une journaliste qui enquête, je vous le donne en mille, sur les meurtres que le père de Shin a prétend

  Toshiya Higashimato Toujours aussi bon ! Eh oui, me voici déjà de retour avec le tome trois du Bateau de Thésée. C'est un manga que j'ai découvert, il y a quelques semaines, et je l'aime vraiment beaucoup.  Je pense que cette série est en train de devenir un véritable coup de cœur pour moi. Pour rappel, le Bateau de Thésée raconte l'histoire d'un jeune Papa parti voir son père, qui est en prison. Ce dernier à été condamné pour meurtres.  Sur la route du village où ses parents ont vécu, notre jeune Papa, Shin, se retrouve dans le passé. Quelques mois avant que les meurtres, dont son père est accusé, soient perpétrés. Rencontrant ses parents et découvrant les lieux du drame, Shin se met à douter de la culpabilité de son père.  En effet, son père semble être un policier intègre et aimant.  Shin fait une autre découverte, en arrivant dans le passé : il peut le transformer. Shin, embauché comme enseignant, a, donc,un double objectif : découvrir le véritable coupable de

  Toshiya Higashimoto Toujours aussi bien ! Je vous ai parlé, il y a quelques jours, du tome un du Bateau de Thésée . Un manga que j'ai vraiment beaucoup apprécié. Dans ce tome deux, nous sommes, donc, toujours avec Shin qui s'est retrouvé, on ne sait pas trop comment, en 1989 quelques mois avant le meurtre d'enfants et professeur. Meurtre dont son père, policier, a été reconnu coupable. Shin découvre, donc, pour la première fois la vie de famille dont il a été privé. Eh oui, en 1989, sa mère était enceinte de lui et son père a, donc, été arrêté avant sa naissance.  On comprend, aussi, dans l'histoire que Shin n'a plus de relation avec son frère et sa sœur aînés. La faute à la honte que la famille a subi depuis la condamnation du père de famille à la prison.  Shin apprend, donc, à connaître son père et il se rend compte que son père st quelqu'un de bien. Alors, Shin se pose une question : Son père est-il vraiment coupable de ces meurtres atroces ? Et, comble de

  Toshiya Higashimoto Prenant ! J'ai choisi de lire ce manga complètement au hasard. Ou plutôt, j'ai été séduite par sa jolie couverture. Simple et élégante.  Avant de le lire, je ne m'étais pas renseignée sur l'histoire et c'était, donc, une totale surprise, pour moi, de voir où l'histoire allait m'emmener.  L'histoire commence avec un jeune couple. Les deux sont d'autant plus heureux que la femme est sur le point d'accoucher.  On ressent, cependant chez le futur père de famille, une légère tension lorsqu'est évoqué son propre père. On comprend, par la suite, pourquoi.  Son père a été condamné pour avoir tué enfants et professeurs, par empoisonnement, lors d'un goûter dans une école.  Le père était policier.  Bref, nous comprenons que le futur Papa, Shin, n'ait pas envie de parler de son propre géniteur. Comme si cela ne suffisait pas, un autre drame survient pour ce futur papa. Lors de l'accouchement, con épouse meurt.  Il reste

  Adapté par : Stacy King et Po Tsé Sans saveur On m'a offert ce manga, il y a quelques semaines, comme un clin d’œil à ma passion pour Jane Austen. Je l'avais vu plusieurs fois mais je ne me l'étais pas procurées parce que je le trouvais assez cher et parce que j'avais peur d'être déçue.  Si vous êtes, comme moi, admirateur de Jane Austen, je vous conseille de relire Jane Austen plutôt que de vous procurer cette Bande dessinée.  Première surprise en ouvrant le livre, la BD se lit bien en commençant au début, et, non par la fin, comme cela est la cas dans la plupart des mangas publiés aujourd'hui.  Deuxième surprise : je me rends compte que je n'aime pas beaucoup le dessin.  D'habitude, j'aime plutôt le dessin des mangas mais je trouve qu'il sied particulièrement mal à l'univers de Jane Austen. J'ai trouvé que tous les personnages se ressemblaient trop et que Mr Darcy n'était vraiment pas mis à son avantage (physiquement) dans cette B

  Harold Sakuishi Décevant Eh oui, me voici de retour avec une chronique concernant le tome cinq de la saga Seven Shakespeares. Vous le savez, je suis toujours un peu dubitative concernant ce manga mais comme il est en six volumes, qu'il se lit vite et qu'il est disponible à la bibliothèque municipale que je fréquente, j'ai continué de lire tome après tome 7 Shakespeares. Eh bien, ce tome cinq a fini par me convaincre que ce manga n'était pas du tout pour moi.  Nous sommes toujours en compagnie de notre duo de garçon dans leur jeunesse. William et John cachent toujours leur catholicisme dans un pays où les catholiques sont pourchassés.  Et Harold Sakuishi fait apparaitre dans son manga Anne Hathaway. Celle qui sera l'épouse du dramaturge.   Et, encore une fois, Harold Sakuishi ne fait pas les choses à moitié lorsqu'il écrit un personnage. Autant, la jeune chinoise, Li, présente dans les trois premiers tomes, était parée de toutes es vertus, autant Anne Hathaway

  Harold Sakuishi  Déroutant Vous n'êtes pas, je pense, surpris par le titre de ma chronique. Depuis le début, je trouve que ce manga de Harold Sakuishi est déroutant et qu'il part dans d'étranges directions.  A mon grand soulagement, on quitte la jeune chinoise trop parfaite Li et toute l'intrigue actuelle pour repartir dans le passé.  En 1564, William Shakespeare nait.  Et, c'est ainsi que nous aurons toute son enfance dans ce tome quatre de Seven Shakespeares.      William Shakespeare nait dans une famille bourgeoise avec une mère esseulée qui sait que son époux la trompe continuellement et un père qui ne souhaite qu'une chose : obtenir des armoiries. William Shakespeare devient très vite ami avec un jeune garçon riche : John. Ce dernier sera, un jour, un riche héritier. Les deux garçons se ressemblent physiquement et tous deux sont les meilleurs amis du monde.    Le tome quatre nous raconte l'enfance de Will et John sous fond de guerre des religions.    

  Harold Sakuishi Toujours aussi déroutant  Mes avis se suivent et se ressemblent concernant ce manga : 7 Shakespeares. Comme la fin du tome deux le laissait présager, Li, la jeune chinoise continue son apprentissage et continue à éblouir notre trio d'hommes par ces poésies et la facilité avec laquelle elle a appris l'anglais.  Les trois hommes se rendent compte que Li n'est jamais sorti de la maison depuis son arrivée et l'emmène au marché.  Li ne tarde pas à se faire remarquer... Mais tour va bien dans le meilleur des mondes et tout continue donc d'aller paisiblement dans la petite vie de nos quatre personnages.  Tout irait même mieux si Lance n'était pas tombé amoureux d'une jeune femme riche et si il n'avait pas pour la conquérir promis de remporter le match opposant les différentes pièces de théâtre.  Car tout le monde le sait : Lance n'a aucune chance de gagner face à son rival qui lit beaucoup et a fait de grandes études.  Pourtant Lance est b

   Harold Sakuishi  Toujours perplexe Je vous ai présenté, il y a quelques temps, le premier tome de Seven Shakespeares. Je vous avais fait part de ma perplexité concernant l'histoire qui partait, selon moi, dans une direction étrange.    Dans ce deuxième tome, on comprends, enfin, pourquoi nous avons suivi dans quasiment tout le premier tome les aventures de la jeune chinoise, Li.  En effet, la jeune chinoise est repêchée par Lance Carter. Ce dernier la ramène chez lui et son ami Mill entreprend de lui apprendre l'anglais. Et, le moins qu'on puisse dire est que Li est douée. Non seulement, elle apprend l'anglais en un temps record mais en plus elle se met à déclamer des poèmes / sonnets. Ces derniers intriguent Lance qui lui-même commence à se mettre à l'écriture de pièces de théâtre.  Comme vous le voyez en lisant mon résumé, on commence à bien comprendre où Harold Sakuishi veut en venir dans ce manga.  J'ai assez apprécié ma lecture même si je regrette les no

  Harold Sakuishi  Déroutant J'ai choisi de lire ce manga, vous vous en doutez, à cause de son titre. Eh oui, nous savons tous que l'existence de William Shakespeare est empreint de mystères.    Dans ce manga, nous sommes plongé, premièrement, dans l'Angleterre de notre dramaturge anglais. Et, le moins que l'on puisse dire est que les pièces de théâtre de Shakespeare divisent le public.  D'un côté, nous avons des puritains qui sont choqués ou plutôt "so chocking" et de l'autre ceux qui applaudissent des deux mains la moindre pièce de notre auteur et parmi eux se trouvent la reine Elizabeth I.  Le succès de Shakespeare fait envie et c'est peut-être pour cela que nous croisons un homme qui dit haut et fort que Shakespeare est un imposteur.  Est-ce vrai ? Est-ce faux ? Nous ne le saurons pas immédiatement puisque nous allons quinze ans en arrière direction Chinatown un quartier de Liverpool. Dans ce quartier où sont arrivés plusieurs chinois rêvant à