L'impossible retour
Amélie Nothomb
Bien
Comme tous les ans, je me suis fait offrir le "Nothomb nouveau". Vous le savez, peut-être, Amélie Nothomb est une adepte de la rentrée littéraire puisque son nouveau livre sort forcément fin août. Si vous voulez savoir pourquoi, pour moi, Amélie Nothomb est un incontournable de la rentrée, je vous invite à cliquer ici.
Et, cette année, Amélie Nothomb nous ré-invite au Japon. Si je ne me trompe pas, c'est le cinquième livre autobiographique où l'auteure belge nous amène dans sa destination favorite (après Métaphysique des tubes, Ni d'Eve ni d'Adam et Stupeur et tremblements et la Nostalgie heureuse).
Oui, Amélie Nothomb est une grande amoureuse du Japon, certainement parce que le Japon est le pays de son enfance.
Pourtant, en 2020, lorsque son amie Pep Beni l'invite à partir dix jours au Japon, Amélie Nothomb dit oui mais, au fond, souhaite ne pas y aller.
En effet, Amélie Nothomb a dû mal à s'imaginer jouer les guides touristiques.
Mais son amie a de bons arguments et Amélie Nothomb part avec elle.
La revoici dans son pays favori.
Et, Amélie Nothomb semble se remémorer les lieux (sans tomber dans les larmes et la nostalgie comme lui a fait promettre son amie) sans s'en rappeler leur géographie.
Amélie redécouvre ce pays, et, avec lui se remémore les moments passés avec son père.
Oui, encore une fois, j'ai trouvé que ce livre était un joli hommage à son père puisque ce dernier est extrêmement présent dans les pensées de notre auteure belge.
J'ai beaucoup apprécié ma lecture de l'Impossible retour. C'est aussi un choc des cultures que nous décrit Amélie Nothomb. En effet, son amie ne comprend pas totalement tous les us et coutumes du Japon et son caractère ne s'adapte pas toujours très bien avec ce pays.
C'est assez drôle à lire et j'ai beaucoup aimé le fait qu'Amélie Nothomb se sente toujours partagé entre son amie et son amour du Japon.
Amélie Nothomb écrit toujours avec drôlerie et j'ai bien apprécié ma lecture. Revenir au Japon en sa compagnie m'a vraiment charmée et si vous vous vous demandez si le Nothomb de cette année vaut le coup, je peux vous répondre : Oui.
Et, comme chaque année, je finis ma chronique en vous disant qu'encore une fois, le mot "pneu" est bien présent dans ce livre : il est à la page 146.
Je le lirai, promis. Mais quand ? Je ne sais pas.
RépondreSupprimerJ'espère que vous en aurez vite l'occasion.
SupprimerJe n'ai jamais lu cette auteure, il faudrait que j'essaie. Je ne sais pas si je tenterais avec celui-ci n'étant pas particulièrement fan du Japon. Mais elle a écrit suffisamment de livre pour que je me décide. 😉 D'ailleurs, je me demande bien ce que le mot "pneu" à de spécial, c'est un mot qu'elle incorpore à chaque livre ?
RépondreSupprimerC'est exactement ça. Juste parce que le trouve beau 🤭
Supprimerbonjour, comment vas tu? je n'ai jamais lue cette auteure. elle ne m'attire pas particulièrement. passe un bon mercredi et à bientôt!
RépondreSupprimerBon jeudi :-)
SupprimerComme pour toi, Amélie Nothomb est incontournable pour moi :) Je suis ravie à l'idée de retourner au Japon à ses côtés et espère que ma médiathèque le proposera rapidement.
RépondreSupprimerOui, je sais que tu l'apprécier aussi beaucoup. J'espère que tu pourras le lire prochainement 🙂
SupprimerC'est drôle cette histoire de pneu :)
RépondreSupprimerIl a l'air touchant ce livre et je suis sûre qu'on voyage bien au Japon en le lisant.
Oui, j'adore accompagner Amélie Nothomb au Japon 😉
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