Jane Austen, Daphné Du Maurier et les autres... Parlons littérature anglaise!

Deuxième partie de saison : Après avoir vu le  twist final  de la demi-saison, je n'avais qu'une envie voir la suite. Et après de longs mois d'attente où je ne pouvais pas croire à la disparition de Gina, la pirouette scénaristique m'a pas mal déçue. J'avais envie de dire tout ça pour ça. L'accident de Gina n'aura finalement qu'un faible impact sur la série et les personnages puisque nous nous retrouvons deux mois après cet accident avec une Gina coincée dans un corset de fer. Sans réelle explication.  Un des (seuls) points faibles de la série est celui-là : les épisodes peuvent être très inégaux . je trouve que cela a été le cas dans les premiers épisodes de cette reprise. Tout La série joue sur les mêmes codes, on anticipe les actions et les répliques des personnages et on a l'impression que les personnages n'avancent plus ou très peu. Je n'ai pas beaucoup apprécié le "faux" suspense autour de la poss

Mini-série datant de 1995 de la BBC Ai-je déjà dit que j'aimais  Jane Austen  ? Eh bien, voici pour moi l'adaptation qui rend justice à son talent ! En six épisodes , les créateurs de cette mini-série, Sue Birtwistle , Simon Langton et Andrew Davies retranscrivent parfaitement à l'écran les émotions, les dilemmes et les actions des personnages du roman de Jane Austen. Il sont bien aidés par les acteurs incarnant les protagonistes de l'histoire :  Colin Firth et  Jennifer Ehle  (parfaite dans le rôle d'Elisabeth et qui a de faux airs à Meryl Streep) sont, tout simplement, parfaits. Il en va de même pour les personnages secondaires. Tous sont à la hauteur ! Les six épisodes permettent de ne laisser aucune intrigue secondaire de côté et de transmettre toute l'ambiance du roman. L'évolution des personnages et des sentiments de chacun d'entre eux est parfaitement montré à l'écran. Pas de raccourci comme cela peut parfois

D'après un roman de Jane Austen, Téléfilm réalisé par Adrian Shergold Avec (entre autres) : Sally Hawkins Rupert Penry-Jones Anthony Head L'histoire : Ce téléfilm, diffusé pour la première fois par la BBC en 2007, est donc une adaptation du dernier roman achevé de Jane Austen et nous conte l'histoire d' Anne Elliot, deuxième fille de Sir Walter Elliot . Laissez-moi, tout d'abord, vous présenter la famille d'Anne : Sir Walter Elliott : son titre fait sa fierté, il aime se regarder dans les miroirs et ses dépenses l'ont ruinées. Elisabeth Elliott : Sœur aînée d'Anne, exacte copie de son père. N'a épousé personne puisque aucun homme n'a autant de valeur qu'elle. Mary Elliott   Musgrove : La dernière de la famille, mariée à Charles Musgrove. Hypocondriaque.  Charles Musgrove : Beau-frère d'Anne, donc. Il avait demandé la main d'Anne mais cette dernière a refusé sa demande. William Walter Elliot

Avis sur le début de la 4e saison : Ayant adoré les trois premières saison, et en particulier, le final de la saison 3 qui promettait beaucoup. Pour rappel, nous avions laissé Jake et le capitaine Holt dans un programme de protection des témoins en Floride pendant que le reste de l'équipe accueillait un nouveau capitaine. Le début de la saison démarre bien et contente tous ceux qui aiment la relation entre Holt et Jake. Les deux agents collaborent, se disputent, se réconcilient et tendent un piège à Figgis leur permettant de retrouver la 9-9.  Et la venue du nouveau capitaine, incapable, offre beaucoup de situations amusantes.  Malheureusement, les épisodes d'après sont décevants. Je pense, surtout, au cross-over avec New girl (épisode 4) où une seule question me vient à l'esprit : Pourquoi? La réponse doit être : pour l'audience et le résultat est étrange : seule la fin de l'épisode voit l'apparition de Jess et si l'épisode de New girl

Comme beaucoup de jeunes trentenaires, j'ai suivi énormément (beaucoup trop?) de séries télévisées. Cela a commencé avec les midis passés devant M6 et La petite maison dans la prairie et Dr Quinn femme médecin. Puis, la trilogie du samedi avec Buffy contre les vampires, bien sûr, et Charmed et même 1, 2, 3 séries sur Tf1 pour regarder Les dessous de Palm Beach. J'ai continué avec les sitcoms, Friends, How I met your mother et maintenant Big Bang Theory tout en jetant des coups d'oeil aux séries policières : j'adorais Cold Case et je regarde parfois les épisodes d'Esprits criminels.  Et, j'ai toujours trouvé que loin de me rendre plus idiote que je ne l'étais ou que je ne le suis, comme pouvait le penser mes parents, les séries m'on t appris plusieurs choses sur la vie.  1. Cultiver ce qu'on aime faire et ne jamais en avoir honte : J'adore ce moment où Léonard fait un discours aux jeunes diplômés. Comme une revanche sur ce

Buffy contre les vampires, d'abord vu comme une série pour adolescents, avec des acteurs eux-mêmes adolescents, parlant de problèmes d'adolescents, métaphoriquement parlant, bien sûr, peu d'adolescents ont eu à se battre contre des vampires/démons la nuit, la série a vite évolué et est reconnue comme une des meilleures séries télévisées. Buffy contre les vampires débarque en 1998 sur M6 dans la trilogie du samedi aux environs des 22h30-23h00.  Aux premiers abords, c'est une série toute simple, si ce n'est que pour une fois, c'est la jolie blonde qui se bat (et tue) les démons. La première saison ne compte que 12 épisodes et est de qualité inégale : je ne peux toujours pas regarder l'épisode : Les hyènes.  Buffy rencontre et tombe amoureuse du vampire le plus insipide de son époque : Angel (avant que ce titre honorifique décerné par moi-même ne lui soit volé par Edward de Twilight). Bien entendu, j'étais jeune à l'époque et je me rappelle