Filles des oiseaux : N'oubliez jamais que le Seigneur vous regarde

 

Florence Cestac

 
image chronqiue littéraire resume complet deblok

Déçue

Eh oui, comme tous les mardis, je vous propose une chronique sur une bande dessinée. Et, comme vous le voyez, j'ai, de nouveau, craqué pour une BD de Florence Cestac. 
Pour ceux qui n'auraient pas lu mes précédentes chroniques, je vais résumer la situation...
Petite, je lisais le Journal de Mickey, et, dans cet hebdomadaire jeunesse, on retrouvait les Débloks. Reconnaissables à leur gros nez. 
Florence Cestac en était une des auteures. 
Et, il y a quelques mois, j'ai vu que la bibliothèque municipale, que je fréquente, possédait de nombreuses bandes dessinées de cet auteure. 
J'ai, donc, décidé de les emprunter de temps en temps. 
Préférant les picorer plutôt que les avaler. 

image chroniquelittéraire résumé planche

J'ai, donc, emprunté Filles des oiseaux : N'oubliez jamais que le Seigneur vous regarde. 
Le personnage principal est une jeune femme entrant dans un internat catholique. Celle-ci vient d'une famille modeste. 
Ses parents sont agriculteurs. 
Et, très vite, elle devient amie avec une autre jeune fille qui est tout le contraire d'elle : elle est riche, déjà. Elle vient d'une famille bourgeoise. Puis, elle est délurée. 
Les deux filles deviennent les meilleures amies du monde... malgré leurs différences...

image planche deblok avis critique résumé complet

J'ai plutôt apprécié ma lecture du début de Filles des oiseaux. 
Mais, très vite, ma lecture m'a ennuyée. 
J'ai trouvé que la bande dessinée enchaînait les clichés.
Cela m'a assez déçue. De plus, je trouve que les personnages ne sont pas assez fouillés. On reste, selon moi, à côté d'eux sans vraiment réussir à les apprécier complètement. Ce qui est un comble puisque Florence Cestac s'est inspirée de sa vie pour écrire cette BD.
Malheureusement, pour moi, elle passe vraiment à côté de son sujet et je ressors de ma lecture avec un goût d'inachevé.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le jour de ma mort

Nymphéas noirs

Trois vies par semaine