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Tolkien et la grande guerre

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  John Garth Une bonne biographie ! Je n'en parle beaucoup sur ce blog mais JRR Tolkien est un écrivain que j'admire énormément. Je l'ai découvert en 2003 grâce à l'adaptation cinématographique de son oeuvre la plus connue : Le Seigneur des anneaux. C'est en voyant ces films que j'ai eu envie de découvrir le texte originel.  J'ai, donc, commencé avec les livres du Seigneur des anneaux, et, ai continué avec le Hobbit.  Après cela, j'ai lu les livres des contes perdus, les contes et légendes inachevés et le Silmarillion. Beaucoup de lectures plus ou moins ardus qui m'ont convaincu que Tolkien était un grand écrivain. J'ai, bien sûr, vu la très jolie exposition consacré à Tolkien à la Bibliothèque nationale de France.  J'admire beaucoup Tolkien, et, pourtant j'ai peu lu ou pour être plus honnête lu aucune biographie consacré à cet écrivain anglais.  C'est chose réparée puisque je viens de finir : Tolkien et la grande guerre. Le livre de

Plein gris

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  Marion Brunet  Très bien J'ai voulu lire ce livre grâce à la chaîne Youtube Pikiti Bouquine. Stéphanie, de cette chaîne, en avait beaucoup parlé et bien parlé, et, donc quand j'ai vu qu'il était disponible dans la bibliothèque municipale que je fréquente, je n'ai pas pu m'empêcher de le lire. Et, je l'ai emprunté puis avalé en un après-midi. Plein gris est un livre pour ados qui fait vraiment bien le job, qui est sympathique, et, qui peut même être lu par les trentenaires de mon genre.    Plein gris commence avec Elise et Victor. En pleine mer, ils découvrent le corps de Clarence. Emma pleure. Sam est agité et essaie de panser les blessures du mort comme si cela avait encore de l'importance. Nous commençons comme cela : Clarence est mort en mer.  Une tempête arrive.  Le voilier est secoué de toutes parts et le voyage des cinq amis vire au cauchemar.  Une chose se profile devant nos yeux : Clarence ne s'est pas noyé seul. L'un de ses quatre amis doi

J'ai dû rêver trop fort

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  Michel Bussi  Cucul Comme vous le savez, j'appréciais beaucoup Michel Bussi et con côté page-turner. Je dis "j'appréciais" car je dois bien vous l'avouer et me l'avouer : j'apprécie vraiment de moins en moins les livres de cet écrivain.  Je vous ai parlé récemment de Nymphéas noirs dont la construction est vraiment problématique puisque l'auteur choisi de tromper sciemment son lecteur et se trompe lui-même dans certains passages qui sont de vrais erreurs d'écrivains.  Je vous avais, également, parlé de Code Lupin , qui ne fut pas non une grande découverte, et, je vais, donc, parler de J'ai dû rêver trop fort qui est un roman vraiment très décevant.  Moi, qui voulais un page-turner, j'ai été plus que déçue puisque j'avais même du mal à reprendre ma lecture puisque je n'avais pas l'envie de replonger dans cette histoire cucul la praline.  L'histoire est alternée entre 1999 et 2019 et tout commence, donc, avec Nathy en 2019.

Blacksad : Alors, tout tombe, 1ère partie [Tome 6]

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  Díaz Canales et Guarnido Très bien ! Je vous ai parlé, il y a deux semaine, du tome cinq des aventures de Blacksad. C'est un tome qui m'avait un peu déçu puisque je vous disais que, pour moi, c'était le moins bon des cinq premiers tomes. Mais, je n'étais pas découragée, après cette lecture puisque j'ai enchaîné avec le sixième tome. Petite subtilité pour ce tome-ci : la BD est en deux partie. Et, que ce septième tome n'est pas encore sorti... Il faudra attendre 2023 pour connaître la fin d'Alors tout tombe et je peux vous dire que cela est d'autant plus frustrant en sachant que la fin du sixième finit avec nombre de rebondissements spectaculaires. Et, pourtant tout commençait bien pour John Blacksad. Les couleurs sont chatoyantes. Le début du sixième tome est très gai puisque John Blacksad regarde, allongé dans l'herbe, une pièce de théâtre au grand air. Mais, Blacksad va se retrouver engager dans une mission d'infiltration hautement dangereuse

Boussole

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   Mathias Enard Déception Je ne sais pas si vous vous en rappelez mais j'avais lu des livres de Mathias Enard, il y a quelques mois. Et, j'avais beaucoup aimé chacune de mes lecture et avait même été conquise par l'élégance de la plume de Mathias Enard. Cette fois, je dois avouer, que Boussole est une véritable déception.  Eh oui, les lectures ne marchent pas à tous les coups et je vous avoue que j'ai même songé à arrêté ma lecture tant je me suis ennuyée tout au long de cette dernière.  Boussole n'a pas vraiment d'histoire, et, c'est certainement pour cela que cela n'a pas fonctionné pour moi.  Franz Ritter est à Vienne, dans son lit.  C'est la nuit : il n'y a rien, donc, de plus normal.  Seulement, le sommeil de Franz tarde à venir.  C'est une insomnie qui se profile pour lui.  Une grosse insomnie.  Et, pendant ces heures noires où la nuit est silencieuse, Franz rêvasse et se perd dans ses pensées.  Il repense à ses voyages bien loin de Vi

La femme parfaite

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  JP Delaney Mitigée J'ai choisi de lire ce roman parce que j'avais adoré un autre titre de JP Delaney : La fille d'avant . J'avais beaucoup aimé l'histoire et la construction de celle-ci. J'ai, donc, emprunté La femme parfaite (en version originale The perfect wife) en espérant aimer autant ce livre et je vous avoue que je n'aurais, peut-être, pas emprunté ce livre si j'avais su quel était le début du livre. Eh oui, une femme se réveille de ce qui semble être un coma et elle en sort, en disant à son époux, qu'elle avait pensé à leur couple.  Abby est le nom de cette femme. Son époux s'appelle Tim et ce dernier douche ses espoirs et rêves : ce n'était pas un rêve lui dit-il. C'était un téléchargement.  À ce moment là, mon cerveau de lectrice qui lit peu en anglais, s'est juste posé une question : Hein ? Avais-je bien compris ce que je venais de lire.  Je vous avoue avoir eu un petit doute et être allée sur babelio pour lire la quatriè

Un saphir, trois destins

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 Patrice Drapeau  Mitigée  J'ai reçu ce service-presse de la part de Librinova (spécialiste des livres auto-édités) et, comme toujours, je ne peux que remercie Librinova pour sa confiance.  Un saphir, trois destins commence avec un PDG d'un grand groupe, Jacques Alexandre Valmeras, qui est complètement surmené.  En plein cinéma, il est victime d'une crise cardiaque.  Plus rien ne va plus pour Jacques Alexandre. Il est, en partie, amnésique mais fait comme si de rien n'était devant son épouse. Oui, à l'aide des moyens technologiques et d'ingéniosité, Jacques Alexandre parvient à faire comme si il se souvenait parfaitement de sa vie actuelle. Mais, son cœur et son amnésie deviennent, bientôt, le cadet de ses soucis. Oui, Jacques Alexandre est d'un coup emmené dans une histoire complètement rocambolesque où tout le monde a l'air de le croire mort alors qu'il n'en est rien.  Pire, le voilà, enterré vivant.  Heureusement, Jacques Alexandre est, comme